Tout le bonheur du monde 2.0

Toutefois afin de ne pas trop vous heurter le trou de Magendie (non ce n'est pas sale), je vais bien évidemment m'adonner à ma tradition personnelle de noyage du sujet sous un délire verbal repoussant mais certifié sans guimauve.

Et pourtant ce n'est pas facile.

En effet les produits sucrés sont légion en ces périodes de fêtes, car le monde reste marqué par cette chère nounou au parapluie volant et sa célèbre comptine sur les morceaux de sucre, dont l'utilité n'a d'égale que la vaseline. L'histoire ne dit pas hélas s'il s'agissait de sucre de canne ou de betterave, ce qui déclencha par la suite d'intenses discussions philosophique sur les vertus réciproques de ces légumes ainsi que les divers endroits le plus adaptés pour les intégrer au sein du corps humain.
Parmi les guerres saintes collatérales engendrées par ces débats posologiques, on se rappellera la désormais célèbre invasion américaine de l'irak dont le dirigeant était suspecté de détenir des champs conséquents de plantations sucrières, arme de destruction massive pour toutes personnes sujettes à l'obésité et au diabète.
Devant le risque évident que courait l'américain moyen, l'intervention militaire était inévitable. Afin de respecter la tradition de la trêve de Noël, je m'abstiendrais donc de relancer le débat sur ce sujet et éviterais par la même occasion toute distribution de mélasse acoustique en désactivant la touche 1 de ma télécommande.

La paix est à ce prix.

C'est donc sans matière grasse ajoutée que je vous souhaite, avec un peu d'avance, un splendide, fantastique, merveilleux, arrosé, copieux, festif, délirant, surprenant, hilarant, érotique (pourquoi pas après tout) et joyeux...Noël !

Que la paix soit avec vous.