Contre ceux d'en haut.
Publié le jeudi 05 avril 2007, 17:56 - modifié le 23/04/07 - Hommage à MachiN - Lien permanent
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Aujourd'hui je m'attèle à mon passe-temps préféré : l'écriture, automatique, de tout ce qui me traverse l'esprit.
Pour ceux qui parmi vous n'aurait jamais pratiqué, le protocole inclut au minimum un doigt (il est fortement conseillé d'en posséder plusieurs mais le nombre exact est variable et proportionnel à la quantité de neurones du pratiquant), un clavier relié à un ordinateur, avec un utilitaire de texte ouvert dessus, et une bonne dose de vapeur étherique à forte action incapacitante sur la matière grise (Cette dernière étant gracieusement offerte par l'entreprise peinture, parpaing and placo qui entreprend présentement sous ma fenêtre et qui semble disposer de coloris enrichis à la vodka de synthèse)
Au vu de mon imagination naturelle débordante, je vous laisse imaginer l'impact de vapeurs éthyliques sur mon activité professionnelle du moment.
Or donc (nota : entre ce "or" et ce "donc", il vient précisément de s'écouler 4 heures, un café, deux propositions professionnellement indécentes et, malheureusement, une seule et unique chouquette) parmi les innombrables araignées peuplant mon plafond l'une d'elle est actuellement... en train de tenter de... corrompre mon esprit... à l'aide de visions... hautement érotique à base de chouquette fourrée à la crème pâtissière. Mais je m'égare et là n'est pas le propos.
Parlons plutôt de cette autre qui, bien que dotée d'une qualité vocale laissant à désirer (et malheureusement, en tant que créature issue de mon esprit, héritée de mes capacités personnelles), hurle à tue-tête le refrain connu de tous les amateurs de comédie musicale pas tout à fait historique mais haute en couleur qui, comme la nature est bien faite, se trouve être le titre du billet que vous avez présentement sous les yeux.
A ceux qui d'ores et déjà se retrouve empêtré quelque part dans la grammaire et les phrases à rallonge dont je suis friand (et partageur), je ne saurais trop vous conseiller d'effectuer une relecture salutaire de la partie précédente voire, pour vous pénétrer de mon état d'esprit, de renifler un bon coup près d'un tube de colle aimablement offert par votre direction. (Heureux travailleur qui peut, en toute légalité, faire passer un tube de colle thérapeutique en note de frais sans justificatif du médecin)
Mais je m'éloigne une fois de plus de la thématique. Or donc (oui je sais, il y a redites, mais j'aime l'expression et à mon grand âge on ne se refait pas, du moins pas entièrement) en déroulant la bobine neuronale, on trouve au coté de l'araignée chanteuse dans mon cerveau encombré cette information qui, je gage, va vous tripatouiller les parties intimes telle une femme de petite vertu à la bouche pleine d'oursin (Ne m'en demandez pas plus, même mon dernier neurone inventif en éveil se refuse à me donner des détails)
Cette information est la suivante : La pédophilie est génétique.
Belle affirmation que voilà car elle remet en cause à peu près un siècle de recherche scientifique et psychiatrique, autant vous dire que le penseur qui en est à l'origine dispose à n'en pas douter du diplome le plus impressionnant qui soit pour oser revenir aux théories infondées d'avant-guerre mondiale (la première s'entend).
En fait de diplôme, il s'agit de l'ENA. Et l'affirmation est d'un certain Nicolas S.
Elle n'est pas belle notre France tout de même... ?
Que la paix soit avec vous.