Subtile contradiction
Publié le mercredi 15 avril 2009, 10:18 - modifié le 20/04/09 - Vie publique - Lien permanent
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Si toi aussi lecteur tu cultives l'art de l'observation intensive et de la déduction pertinente chères au binôme Holmes & Watson, tu n'auras pas manqué de noter la subtile contradiction entre les titres de mes deux précédents billets.
(Si tu pratiques régulièrement l'enfoncement de porte ouverte, ça marche aussi)
Pour les moins éveillés du neurone d'entre vous, j'en rappelle les intitulés : "Que la paix soit avec moi" du 10 avril et "Enfin du chaos" du 14 avril.
Diantre donc, mais que se cache-t-il derrière cet incroyable et indubitablement historique retournement de situation émotionnelle ? Une surdose de chocolat pascal, une partie de multiples jambes en l'air, une poussée de chaleur printanière, un enlèvement par de raeliens extraterrestres ?
Non, brave lecteur mon ami, rien de tout cela. Même si je ne te cache pas que plusieurs de ces hypothèses eussent pu être fort divertissantes. (j'eusse pu, tu eusses pu, ...)
Après tout on ne rencontre pas des extraterrestres sectaires tous les jours... du moins hors de la capitale.
Les seuls à blâmer ici en fait sont les innombrables voix dans ma tête qui, tour à tour, prennent le devant de la scène en s'emparant de mon neurone surchargé.
Pour les amateurs de vocabulaire clinique et autres réducteurs de tête payés à rien foutre, dont le diplôme est disponible en pochette surprise sur simple demande, il semblerait que le terme exact se situe quelque part entre la maniaco-depression et la schizophrénie dysthymique.
Comme souvent avec les pseudo-sciences, on rigole déjà rien qu'en l'écrivant.
Bref, vous pouvez interrompre vos mouvements de panique, revenir sur votre défenestration, stopper vos hurlements désespérés et reprendre le cours de votre vie normale (et morne autant qu'inutile... Mais chacun ses problèmes hein) car Khaos Farbauti Ibn Oblivion n'a rien perdu de sa chaotique attitude.
Que la paix soit avec vous. Moi j'ai déjà donné.
Auteur: Khaos Farbauti Ibn Oblivion
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